Identité masquée
Mathilde Jouin

Dans ce projet, Mathilde Jouin choisit le thème du propre et du sale en s’appuyant sur l’œuvre éponyme de Georges Vigarello de 2004. Cette œuvre démontre l’écart existant dans la représentation du propre entre le Moyen Âge et le XXème siècle. Il mentionne également les jugements et les différences sociales que ces concepts impliquent.
Partant de ces postulats et moults références, Mathilde a dégagé plusieurs pistes de réflexion sur le propre et le sale mais surtout sur ce qu’ils engendrent entre les individus avec notamment une pensée du blanc anxiogène, les regards, le jugement et notre protection face à autrui. Cette collection nommée "identité masquée" et sa recherche préalable mettent en exergue la capacité que peut avoir l’individu à s’effacer par la discrétion du vêtement.